Soucieux depuis plusieurs années de prouver scientifiquement la performance de ses verres, Novacel officialise un accord de partenariat avec la société Streetlab, filiale de l’Institut de la vision, dans le but de lancer un projet de tests au porté à visée objective.

Depuis 2013, Novacel manifeste la volonté de matérialiser les bénéfices-porteurs de ses nouvelles générations de verres. Pour ce faire, le verrier de Château-Thierry regarde avec toujours plus d'intérêt le domaine très technique des protocoles de tests au porté. L’objectif est clairement affiché : passer d'un mode d’évaluation actuellement subjective, donc possiblement sujet à caution, à une approche objective, qui serait gage d'une plus grande crédibilité aux yeux des opticiens et des clients finaux. « Nous nous lançons dans l’inconnu avec un travail qui n’a jamais été fait de cette façon, s’enthousiasme Jenkiz Saillet. Et le directeur général de Novacel d'expliquer son horizon d'attente : « Nous espérons créer une évaluation objective de certains verres progressifs. Ce projet est très excitant car avec le support de Streetlab, qui est pour nous le partenaire idéal dans un tel projet, nous pensons pouvoir apporter des éléments probants à nos partenaires sur les performances des verres optiques et ainsi briser cette tendance des dernières années qui est de croire que tous les verres se valent et que ni le travail de l’opticien ni la R&D des industriels n’ont d’incidences ». Après plusieurs mois de collaboration étroite, Novacel et Streetlab, structure qui rappelons-le dépend de l’Institut de la Vision à Paris, sont parvenus à la mise au point d’un protocole de tests sur des cohortes de cobayes avec l'objectif de travailler sur la création et la réalisation de tâches comportementales précises. Tâches qui permettront d’évaluer objectivement l'usage des verres progressifs. Durant les six prochains mois, plusieurs séries de ces tests vont être effectués sur deux critères de performances des progressifs. À l’issue de cette première phase, les résultats seront rendus publiques par le verrier, qui souhaite une totale transparence. D’autres recherches appliquées pourraient alors être développées.

Pour recevoir les dernières infos, inscrivez-vous à notre newsletter.