Acteur majeur de l’activité optique en pharmacie, Carré de l’Optique présente les résultats d’une étude sur la relation des Français aux opticiens et aux pharmaciens. Pour les sondés, qualité du conseil et sens de l’expertise sont les principaux critères de sélection de ces professionnels de santé.

Quelle(s) relation(s) les Français entretiennent-ils avec d’un côté les opticiens et de l’autre les pharmaciens ? C’est le fil conducteur d’une étude* OpinionWay présentée aujourd’hui par Carré de l’optique, ce réseau fondé en 2007 par la société Unilens et spécialisé dans les corners d’optique dans les officines, un concept en plein développement (à ce jour, pour rappel, 43 pharmacies ont fait le choix d’installer un espace de services d’optique médicale de ce type). Sans surprise, il ressort d'abord de cette enquête que la majorité des Français se rendent régulièrement en pharmacie : 45 % disent fréquenter au moins une fois par mois leur pharmacie et 77 % au moins une fois par trimestre. Le premier critère de choix d’une officine ?  La proximité (62 %). Vient ensuite l’importance de l’accueil (48 %).

S’agissant de la fréquentation des opticiens, elle est évidemment moindre : 22 % des sondés déclarent pousser la boutique d’un opticien au moins deux fois par an, et 3 % à y aller tous les mois. Questionnés sur les critères prioritaires de choix d’un opticien, près de six Français sur 10 déclarent être d’abord attentifs à l’offre de prix proposée par le professionnel. Les conseils/l’expertise (46 %) ainsi que l’accueil, à égalité avec la diversité de l’offre (31 % pour chacun de ces deux item), complètent le trio de tête. Parmi les autres critères de sélection qui comptent, on trouve aussi, toujours par ordre d’importance, la proximité (27 %), les services (26 %), la notoriété de l’enseigne (10 %), la marque des produits (8 %) et enfin l’ambiance du magasin (5 %). 

* Étude réalisée en octobre 2018 auprès d’un échantillon de 1012 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

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