Le lancement visiblement bien orchestré de l'égérie d'Atol sur Twitter inscrit les lunettes géolocalisables Téou dans le paysage des réseaux sociaux. Retour sur un coup de com'.

Commettre sciemment des fautes sur Twitter pour se faire encore plus remarquer sur le réseau social… Il fallait y penser. Atol s'est associé à l'arrivée de son égérie sur Twitter en début de semaine avec cette stratégie futée. Rien de mieux que le buzz pour attirer l'attention et amplifier l'écho médiatique. Le premier post d'Adriana Karembeu contient en effet volontairement des fautes de frappe. Elles ne passent pas inaperçues des personnalités très connectées - le chroniqueur foot Pierre Ménès, plus d’un million d’abonnés, le chef Norbert Tarayre, 82.000 abonnés, le jeune humoriste Kevin Razy, 133.000 abonnés au compteur, etc. - qui montent en épingle les étourderies de l'ambassadrice d'Atol. Profitant de ce buzz, le compte d'Adriana engrange en quelques heures plusieurs centaines d'abonnés. En fin de journée, l'égérie de l'enseigne affiche déjà plus de 2.000 twittos. Ce n'est que le lendemain que l'égérie déclarera que ces fautes de frappes ont été commises exprès et qu'elles sont dues au fait qu’elle a perdu ses lunettes Téou. Elle demande alors à sa communauté de l’aider à les chercher, initiant ainsi le hashtag #Téou, et un jeu concours. #Téou entre alors dans le vocabulaire des twittos, permettant de lancer le buzz sur les lunettes géolocalisables d’Atol qui sont, rappelons-le, une innovation produit récemment lancée par le réseau.

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