En présence du sélectionneur de l’équipe de France de rugby, invité spécial pour l’occasion, Hoya a fêté le 1er anniversaire du lancement dans l’Hexagone de son verre qui freine la myopie chez les enfants.

L’année dernière à la même époque, Jean-Michel Lambert, le président d’Hoya Vision Care France, l’annonçait haut et fort : « Hoya MiYOSMART Vision, c’est une solution simple de freination de la myopie, efficace et non invasive que les professionnels de santé visuelle attendaient ». Un an plus tard, ce verre de freination de la myopie s’est bel et bien implanté partout où il a été lancé : à ce jour, 500 000 enfants myopes portent MiYOSMART dans le monde. En France, 25 000 enfants en sont équipés, 1 500 ophtalmologistes ont déjà prescrit le verre, et 6 000 opticiens l’ont distribué. Parmi ces derniers, 1 200 ont même obtenu la certification « Expert agréé MiYOSMART »… Ces chiffres ont été présentés lors du 1er anniversaire du lancement du verre dans le cadre privilégié de la Cité de l’Architecture, à Paris, pendant la semaine du Silmo. Durant cette soirée, les intervenants - Jean-Michel Lambert entouré de spécialistes de la vision de l’enfant - ont de nouveau évoqué les avantages de ce « verre de traitement » novateur, qui « crée une nouvelle catégorie en optique en permettant l’interception d’un trouble visuel » (trouble qui concerne, rappelons-le, 2,5 millions de jeunes Français).

Après les exposés de différentes communications scientifiques (notamment une portant sur la rapidité d’adaptation - deux jours en moyenne - et la bonne observance du port du verre MiYOSMART) animés par Marianne Goldwaser, responsable des affaires professionnelles et scientifiques chez Hoya, le public a eu la chance de voir arriver Fabien Galthié qui était la guest star, comme on dit désormais, de la soirée. Au pupitre, le sélectionneur de l’équipe nationale de rugby a partagé avec les quelque 250 opticiens invités sa vision de la gestion du changement, son thème de prédilection depuis longtemps. Devant un auditoire attentif, l’ancien joueur s’est voulu inspirant, vantant les mérites de l'esprit d’appartenance ainsi que la confiance partagée qui sont, estime-t-il, « de vrais moteurs de réussite et de transformation » pour un groupe. Même si le changement génère d’exigeantes adaptations dans un premier temps, c’est toujours grâce à lui que vient le temps de la performance collective, a défendu l’entraîneur qui conçoit son rôle ainsi : « permettre à chacun de trouver sa place dans le succès ». Bref, une leçon de vie et de coaching sportif que les participants, à n’en pas douter, auront médité avec intérêt.

Ci-dessus : Jean-Michel Lambert, PDG d'Hoya France, et Fabien Galthié.

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