Aujourd'hui et demain se tient, à l'initiative d'Alcon, la 1ère édition d'un congrès parisien consacré aux dernières avancées en ophtalmologie et contactologie. "Peut-on faire oublier la presbytie ?", tel en est le thème.

Division du groupe Novartis, le laboratoire Alcon a inauguré, à Paris, son premier congrès dédié aux dernières avancées scientifiques en ophtalmologie et contactologie. Ce vendredi 3 février et demain samedi 4 se tient, sous l'intitulé Convergence, cette nouvelle manifestation. Sont attendus plus de 200 ophtalmologistes français autour du thème "Peut-on faire oublier la presbytie ?". Présidé par les docteurs Florence Malet et Damien Gatinel, "le congrès a pour ambition d’aborder la presbytie de manière holistique, depuis ses enjeux sociétaux et cliniques, jusqu’à la prise en charge des patients, en passant par les dernières avancées technologiques", peut-on lire dans la brochure de présentation. Le programme s’articule autour de quatre parties :
 
1.    Le presbyte : l’enjeu du XXI siècle – un tour d’horizon de la pathologie et de ses enjeux sociétaux
2.    La presbytie dans tous ses états – physiologie et optique, état des dernières recherches
3.    Le presbyte et moi – les points clés de la consultation et la prise en charge du patient
4.    Vision d’avenir – Que préparent les chercheurs pour faciliter la prise en charge des presbytes basée sur l’optique adaptative ?

"Nos consultations journalières accueillent un grand nombre de patients presbytes. Lors de la consultation du patient souhaitant 'oublier sa presbytie', le choix et l’adaptation des modes de correction doivent tenir compte d’éléments majeurs comme l’addition, les dominances oculaires et les bilans orientés spécifiquement vers le choix abouti entre lentilles et chirurgie. Il appartient donc au médecin de définir avec son patient la meilleure option de correction selon son cas", a déclaré, en amont du congrès, le docteur Florence Malet, qui exerce au centre médical Point Vision à Bordeaux. "Les différentes solutions optiques proposées pour la correction de la presbytie, qu’il s’agisse de verres de lunettes, de lentilles de contact, de photoablations cornéennes ou d’implants intraoculaires, ont connu des évolutions récentes, particulièrement orientées vers la préservation voire l’optimisation de la qualité de la vision. Que valent ces évolutions et quel confort apportent-elles au patient ? Nous tenterons d’y répondre ensemble lors de ce premier congrès", complète Damien Gatinel, chef de service à la Fondation ophtalmologique A. de Rothschild à Paris.