L’enseigne Droit de Regard élargit son réseau et sa vision du 100 % Santé
Si le plan d'extension de la toute jeune enseigne semble avoir été revu à la baisse, l’ambition globale reste toutefois la même : proposer exclusivement une offre 100 % Santé de qualité et toujours plus innovante. En témoignent l’intégration récente dans le panier A maison d’un verre de freination de la myopie et, bientôt, d’une lunette de conception entièrement française…
Née en 2020 avec le projet « d’amplifier les effets du 100 % Santé pour permettre à un maximum de Français de s’équiper avec des lunettes sans reste-à-charge de qualité », l’enseigne Droit de Regard tablait dans un premier temps sur l’ouverture de quelque 200 points de vente à moyen terme. Deux ans plus tard, le co-fondateur Diego Magdelénat réajustait quelque peu l’objectif, parlant alors d’une cinquantaine de boutiques à l’horizon 2027. Qu’en est-il aujourd’hui ? Le réseau se développe lentement mais sûrement : Droit de Regard compte désormais quatre points de vente. Après Paris, où la toute première boutique a vu le jour, des magasins se sont ensuite implantés à Toulon et Le Havre. La dernière inauguration, en juillet dernier, a eu lieu à Marseille. Certains de ces points de vente se situent en centre commercial.
Forte d’un nombre grandissant de partenariats - une trentaine à ce jour - avec les mutuelles, ce qui élargit potentiellement sa base-clients, l’enseigne a par ailleurs mis un place un programme baptisé "Droit de Regard hors-les-murs". Il s’agit, on l’aura deviné, d’aller à la rencontre des « personnes en situation de handicap, âgées, malades, en insertion ou précaires, en situation de renoncement aux soins ». Les lieux où des opticiens diplômés interviennent ainsi en mobilité ? Dans certains établissement et service d’aide par le travail (ESAT), des structures médico-sociales, des universités ou encore des associations. Bref, partout où les besoins en matière de santé visuelle se font sentir. « Chaque magasin Droit de Regard organise ces interventions ''hors-les-murs'' dans un rayon d’une heure en transports en commun autour du magasin », nous est-il précisé. S’il y a lieu de réaliser un équipement après dépistage, c’est toujours, évidemment, sur la base d’une ordonnance en cours de validité. « Tout est fait pour accompagner et faciliter les démarches, notamment administratives, de ces personnes, souvent mal informées, mais ayant les mêmes droits que tout autre citoyen », nous indique-t-on encore.
Plus récemment, dans le cadre de la Semaine Nationale de la Myopie, qui s'est déroulée du 18 au 24 novembre dernier, l’enseigne a mis en avant Myotech, un verre de freination de la myopie infantile qui a ainsi été intégré au panier A maison de l'offre 100 % Santé. Ce faisant, Droit de Regard continue d’en enrichir le contenu ; l’enseigne ne se contente pas en effet de s’aligner sur les critères du 100 % Santé, elle propose depuis ses débuts, c’est sa spécificité, une offre dite « augmentée » (un peu comme l’on parle de réalité augmentée). Preuve supplémentaire de cette vocation affichée pour « un meilleur accès aux soins visuels », le projet qui a nouvellement été initié par Diego Magdalénat : proposer bientôt dans le panier A maison « une monture entièrement française et sans reste-à-charge, de haute qualité et respectueuse de l’environnement ». Pour ce faire, l’enseigne s’adosse à Luceline, un atelier artisanal basé à Tinqueux, dans les environs de Reims, qui travaille avec des matériaux bio-sourcés d’origine française. Les tests de fabrication sont actuellement en cours…
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